L'encadrement
Dalton
C’est la polyvalence et la complémentarité technique et pédagogique, indispensable. Développer ses qualités est une de missions FAASTT. Adeline : « Nous nous faisons confiance mutuellement et positivons même dans la complexité. C’est indispensable pour solidifier et développer un probable ensemble d’activités et de bâtiments, futurs, en s’ajustant constamment au fil des besoins. »
🧠 Promotion 3 (2024)
Formé en français par la méthode eCoFast, apprenti professeur, Dalton peut seconder l’encadrement pédagogique à tout moment. Actuellement, la problématique est la compréhension de la langue portugaise lors des lectures…
Il répond aux fondamentaux FAASTT : honnêteté, ténacité, polyvalence et joie de vivre. A la rentrée 2025, il débute des études de comptabilité.
🧠 Les résultats de toute entreprise sont beaucoup plus que la somme du travail d’une équipe. Cette dernière sera entièrement formée à la Fondation comme Adeline l’a toujours fait, car « nous ne sommes jamais mieux servis que par nous-même ».
Rappelons que la mission de la Fondation est d’introduire dans la société économique santoméenne des personnes de confiance responsables.
L’esprit FAASTT
🧠 C’est un ascenseur social, on arrive avec le cerveau du moment et progressivement, nous pouvons y travailler. Entre les deux, le cerveau se sera transformé, développé, adapté pour devenir créatif et vivre agréablement à São Tomé-et-Principe.
L’encadrant.e FAASTT est soutenu.e, guidé.e, écouté.e et recyclé.e afin de découvrir la polyvalence dans le travail.
Il ou elle a appris à transmettre et à gérer un petit groupe selon les normes françaises des années 80, à anticiper, à être responsable, à créer et à développer un projet sur un long terme.
Encadrer, c’est avoir appris, apprendre à apprendre
Être encadrant.e FAASTT, c’est apprendre la patience, la rigueur, la nuance, l’humilité, la créativité, l’initiative réfléchie… tout en sachant sanctionner si nécessaire voire écarter un élève de l’écosystème (en complicité avec Adeline). En effet, si tout le monde souhaite tirer partie d’un système, peu sont prêts, capables, à faire le chemin.
Trois explications explicites sur une même problématique comportementale, avec le recours des parents, et l’enfant s’écarte lui même de l’écosystème eCoFast par ses comportements inadaptables.
🧠 Ce sont les limites, la cadre, l’écosystème, qui élèvent une personne, les capacités de son cerveau. La première est de pouvoir écouter et de renouveler les efforts pour atteindre son objectif. Si les objectifs FAASTT sont personnalisés, apprendre à apprendre devrait être un savoir élémentaire au 21e siècle ; au contraire, c’est devenu exceptionnel dans tous les pays en régression comme la France, et bien sûr dans les pays en sous-développement économique.
Ainsi, l’écosystème eCofast ne proposera plus que la formule internat de semaine à partir de la rentrée 2026. Le suivi doit être total mais justement, pas tout à fait.
A suivre
« Qui va doucement va surement. »
Les deux premières années d’engagement solidaire d’Adeline n’avait aucun besoin de créer une fondation.
Chaque adaptation a été réalisée progressivement en accord renouvelé de confiance entre Adeline et les familles, à son écoute. Beaucoup d’enfants se sont éliminés par non écoute des trois explications (minimum) données par Adeline et traduites, car à ses yeux, il est impossible d’aider des personnes qui ne respectent pas les valeurs du développement du cerveau humain ainsi que celles de solidarité.
Ce savoir faire sera probablement reconnu par les écoles publiques qui sont en premier lieu responsables des élèves FAASTT. A suivre
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